FRIBOURG
A LE BLUES
FILM
Réalisé par Bonny B.
avec BLUES AGENCY & MCCD PROD.
Synopsis
Bien loin des champs de coton, au cœur de Fribourg, le second film du bluesman cambodgien Bonny B, retrace la route du blues dans la ville qui l’a accueilli après son exil, il y a près de 40
ans. A travers des interviews d'artistes et des personnalités politiques, en questionnant les passants jeunes et moins jeunes, Bonny B reconstitue le puzzle de cette histoire.
Une même question posée à tous : Quel message vous transmet le blues ? Pour Bonny la réponse est claire, le blues lui a sauvé la vie, le blues a transcendé sa souffrance en énergie positive, sa transmission lui a ouvert les portes de la résilience.
Le blues n’est pas triste, il apporte la joie du partage de l’authenticité ancrée en chacun de nous. Son film a pour but d’apporter un message d’espérance et de force de vie !
A la fin un constat, une évidence :
Au cœur de l’âme de chacun, le blues sommeille,
le film de Bonny B invite à son réveil ! '' Francine Muller ''
LE REVE DE PHAYOUN
FILM
Réalisé par Bonny B.
avec BLUES AGENCY & MCCD PROD.
Synopsis
Avec « Le rêve de Phayoun » Bonny B raconte l’aventure d’une école construite au Cambodge pour aider les enfants défavorisés. Phayoun était instituteur et avait un rêve. Construire un jour une école au Cambodge pour soutenir les enfants défavorisés de son village. Ce rêve, il ne pourra pas le réaliser, emporté par une maladie en 2001. Bonny B, l’un de ses enfants, rescapés des camps khmers, lui a fait la promesse de réaliser son vœu le plus cher. Aidé par ses frères, Guillaume, Michel, par sa femme Ingrid et l’association qu’il crée, Bonny B va récolter les fonds nécessaires à l’édification du bâtiment. L’école sortie de terre, des centaines d’enfants de 4 à 7 ont bénéficié et bénéficient de ce don merveilleux: recevoir un enseignement.Aujourd’hui, Bonny B est reparti au Cambodge, caméra à la main sur les traces de sa famille et de son père. « Le rêve de Phayoun » raconte les années de cette famille réfugiée à Fribourg, la construction de l’école. Plus poignant, il montre aussi le fonctionnement des classes, la préparation du repas pour ces centaines d’enfants, les cours de lecture et même, les moments de bonheurs à la piscine.
Phayoun avait un rêve: «Je ferme les yeux. Et je suis heureux de croire que de ma vie j’aurai pu donner quelque chose, à mes enfants, aux enfants de mon village, à l’enfance tout simplement. Un rire, un sourire, une éducation. Pour un plus bel avenir, pour un monde meilleur.» Phayoun l’a rêvé, ce monde meilleur.
Ses enfants l’ont réalisé.
